La Maza | Traduction
Si je ne croyais pas à la folie
De la gorge de l’oiseau moqueur
Si je ne croyais pas que sur les monts
Se cachent la rage et l’épouvante
Si je ne croyais pas à la balance
A la raison de l’équilibre
Si je ne croyais pas au délire
Si je ne croyais pas à l’espérance
Si je ne croyais pas à ce que j’arrange
Si je ne croyais pas à mon chemin
Si je ne croyais pas à mon son
Si je ne croyais pas à mon silence
Que fût-ce
Que fût la massue sans carrière
Un ramassis fait de cordes et tendons
Un fouillis de viande et bois
Un instrument sans meilleur éclat
Que les lumières montée pour la scène
Que fût-ce – mon cœur – que fût-ce
Que fût la massue sans carrière
Un prête-nom du traître des applaudissements
Un serviteur du passé dans une nouvelle coupe
Un « éternisateur » de dieux du crépuscule
Joie bouillie avec chiffons et paillettes
Que fût-ce – mon cœur – que fût-ce
Que fût la massue sans carrière
Que fût-ce – mon cœur – que fût-ce
Que fût la massue sans carrière
Si je ne croyais pas au plus dur
Si je ne croyais pas au désir
Si je ne croyais pas à ce que je crois
Si je ne croyais pas à quelque chose de pur
Si je ne croyais pas à chaque blessure
Si je ne croyais pas à celle qui guette
Si je ne croyais pas à ce qui se cache derrière
Se faire frère de la vie
Si je ne croyais pas à ceux qui m’écoutent
Si je ne croyais pas à ce qui fait souffrir
Si je ne croyais pas à ce qui reste
Si je ne croyais pas à ce qui lutte
Que fût-ce…
Une erreur dans les paroles ou la traduction ? N’hésitez pas à nous le signaler en nous contactant via notre formulaire sur cette page.